Il est facile d’imaginer que quelque part dans une cellule de prison de Khartoum, Omar Al Bashir bouillonne. Les victimes de ses atrocités présumées et les partisans de la justice internationale peuvent être rassurés par ce fait. Pendant plus d’une décennie, le régime de l’ancien président soudanais a été une insulte pour ses victimes ainsi qu’une épine dans le pied de la Cour pénale internationale (CPI). lire la suite